Focus sur Michael Labarca : Grand prix du jury en 2018

Michael Labarca a reçu le Grand prix du jury en 2018 avec son film « La culpa, probablemente » ou  » La culpabilité, probablement »

Pouvez-vous vous présenter brièvement ?

Je suis Michael Labarca, un jeune cinéaste du Venezuela.

Quel est votre parcours ?

J’ai fait quelques courts métrages avec mes amis de l’école de cinéma pendant que nous étudions dans notre cursus. Avec certains d’entre eux, j’ai également filmé une série télévisée avec des acteurs non professionnels.

Qu’est-ce que cela vous a apporté du point de vue personnel d’avoir un prix au festival ?

Les festivals et la reconnaissance du jury nous donnent toujours une autre motivation pour continuer à croire en cette impulsion intense de créer.

Je suis très reconnaissant envers le Festival Chalon Tout Court pour son soutien. Et j’espère que le cinéma nous réunira bientôt.

Quelle est votre activité professionnelle et quels sont vos projets ?

J’écris le scénario de mon premier long métrage. Maintenant, je ne vis plus au Venezuela et mon ami a également déménagé dans un autre pays en raison de la crise économique et humanitaire que nous connaissons là-bas.

J’espère donc que ce nouveau projet me permettra de rencontrer à nouveau mes amis de notre pays. J’aime notre énergie lorsque nous pensons au cinéma et lorsque nous créons quelque chose.

Can you introduce yourself ?

I am Michael Labarca, a young filmmaker from Venezuela.

What is your profesional experience ?

I made some short films with my friends of the film school while we were studying cinema. With some of them I also filmed a television series with non-actors.

Did the Festival bring you some personal advantages ?

The festivals and the recognition of the jury always give us another motivation to continue believing in that intense impulse to create.
I am very grateful to the Chalon Tout Court Festival for the support. And I hope the cinema reunites us soon.

What is your work and do you have a job plan ?

I am writing the script of my first feature film. Now I don’t live in Venezuela and my friend moved to another countries too because of the economic and humanitarian crisis that we suffer there.
So I hope that this new project let me meet with my friends in our country to create again. I love our energy while we’re thinking on cinema, and when we are creating something.